Abeilles et autres invités sur les lavandes
Lors d’un déplacement dans le Lot-et-garonne, nous avons pris quelques photos d’insectes sur des lavandes en fin de floraison.
Lors d’un déplacement dans le Lot-et-garonne, nous avons pris quelques photos d’insectes sur des lavandes en fin de floraison.
Voici quelques photos prises sur notre rucher de Fouras par Xavier Léoty. Cliquez sur les photos pour les agrandir.
Le tournesol est enfin en fleur !
Lorsqu’il est cultivé en bio, le tournesol est une source de nourriture abondante et sure pour les abeilles.
Voici quelques photos de nos ruchers au nord de la Charente-maritime en plein coeur d’une exploitation bio.
Le butin attire de nombreux autres butineurs !
un partenariat avec la société APINOV nous permet de récupèrer ces colonies d’abeilles qui sont placées en ruchettes (petites ruches).
Ces essaims sont ensuite offerts aux adhérents de la fédération apicole de la Charente Maritime (FACM).
L’espace parrains pour les particuliers a évolué !
Vous pouvez désormais visualiser la majorité des ruches qui ont été installées en Charente Maritime.
Pour les autres ruchers (Vosges, Drôme, Vendée..), encore un peu de patience cela ne serait tarder.
RDV sur votre espace :
https://www.untoitpourlesabeilles.fr/engages-sauvegarde-abeille-particuliers.php
Un moteur de recherche a aussi été ajouté pour vous aider à retrouver plus facilement votre ruche (tapez son nom, votre nom ou prénom).
Ruches murales
Les ruches murales sont quasi invisibles. Des ouvertures sont créés lors de la construction du mur. Ces ouvertures sont ensuite obstruées par une planche recouverte d’argile et de paille. Une ouverture est laissée permettant le passage des abeilles. Parfois le passage se fait de l’autre côté du mur par une pièce de terre cuite percée de plusieurs trous. La récolte, si elle peut avoir lieu, permet d’obtenir environ 6 à 8 kg de miel par an sur une ruche.
Ruches sur les toits
Le toit de certaines maisons est habité par les abeilles. Des ruches en terre ( non cuite) sont construites. La récolte se fait en éventrant la ruche pour accéder aux rayons, puis en refermant cette dernière avec de l’argile fraiche. Sur ces toits la température est très élevée en été, mais l’abeille semble bien résister.
Tentative avec des ruches Dadant
Ibrahim a tenté d’élever quelques colonies dans des ruches Dadant, mais sans succès. Les ruches qu’il a pu se procurer sont de mauvaise qualité et certaines cotes fondamentales comme l’écartement entre chaque cadre n’est pas constant. N’ayant pas eu de formation sur l’utilisation de ce type de ruche, cette tentative n’a rien donnée…il est donc revenu à l’apiculture traditionnelle et perpétue ainsi ce savoir faire ancestral.
Ibrahim est notamment apiculteur. Il nous fait découvrir ses ruches peuplées d’abeilles sahariennes. Cette abeille est jaune et de petite taille. Le grand savoir faire de l’apiculteur et la douceur des abeilles nous ont permis de passer une demi-journée à ouvrir les ruches sans aucune piqure (à l’inverse des abeilles noires de l’Atlas qui plus agressives ont parfois attaquées à plus de 30 mètres de la ruche). Les colonies sont assez petites. La récolte se fait en cassant quelques rayons de miel si la vitalité de la colonie le permet. En cas de récolte, une ruche donne environ 6 kg de miel par an. La récupération du miel se fait à la main en pressant les rayons. Le miel obtenu est de couleur ambré avec la consistance d’un sirop épais. Son gout particulier en fait un miel réputé.
L’étanchéité entre la ruche et son « couvercle » se fait avec de la bouse de vache qui en séchant assure l’étanchéité. Elle a aussi un rôle bénéfique sur la colonie et permet d’éviter certaines maladies.
Après 20 heures de trajet en voiture, nous arrivons enfin à Beni Zouli à proximité de Zagora dans la zone saharienne.
Au milieu de ce territoire désertique l’oasis de Beni-zouli permet la pratique de l’apiculture. Selon les apiculteurs locaux, le palmier dattier est la principale ressource mellifère.
Au milieu de cette zone aride, l’ombre et la fraîcheur de l’oasis sont vraiment bienvenues ! Une fois de plus, nous sommes accueillis dans les familles avec beaucoup d’attention et de chaleur humaine. Cette visite sera l’occasion de découvrir l’apiculture locale qui se pratique principalement dans des ruches en terre cuite.
En circulant dans la vallée, on découvre plusieurs ruches très vivaces laissant penser que l’abeille noire se plait ici (climat continental).
Nous sommes aujourd’hui à Ahermoumou qui se situe dans la zone montagneuse du moyen Atlas à 2 heures de voiture de Fès.
On trouve sur ce territoire préservé de nombreuse plantes mellifères et aromatiques tels que le thym ou le romarin.
Les habitations sont réalisées avec des matériaux locaux (terre/ paille).
Rencontre avec les élus locaux et les futures apicultrices à Ahermoumou (Ribat El Keir). Tous les acteurs sont ici très motivés par le projet qui représente la possibilité d’apprendre un nouveau métier et de générer une nouvelle source de revenu. Peu de personne parlent ici le français aussi la traduction a été assurée par Hamid HOUACHE.
Cette journée a été fantastique, et nous a permis de constater que la tradition d’accueil des Marocains ainsi que la qualité (et la quantité !) de leur cuisine ne sont pas des légendes.
A Rabat et Salé sur la côte Atlantique du Maroc.
Nous avons rencontré aujourd’hui M’Hamed Aboulal apiculteur au Maroc depuis 1986. Monsieur Aboulal est notamment engagé dans un programme de protection de l’abeille saharienne et a reçu cette année le prix du meilleur apiculteur marocain, remis par le Roi Mohammed VI.
Cette première journée à Casablanca a été l’occasion de rencontrer le président du Forum Averroès et de définir les grandes lignes du projet ainsi que les bases d’une convention de partenariat. Le président Abderrahmane Mekkaoui nous a présenté les principaux acteurs du projet : Hamid HOUACHE et Fatima JAMOUR. Le soir nous sommes chaleureusement accueillis dans la famille de Monsieur ZANA, autre membre du Forum.
Durant cette semaine, nous visiterons deux sites possibles d’installation de la coopérative : l’un se situant dans les montagne du moyen Atlas (abeilles noires), l’autre dans une oasis saharienne (abeilles sahariennes). Le séjour sera aussi l’occasion de rencontrer les apiculteurs locaux et d’échanger sur les différentes pratiques.
Du 16 au 23 mai, « Un Toit Pour Les Abeilles » est au Maroc.
Ce déplacement s’inscrit dans le cadre d’un partenariat avec le « Forum Euroméditerranéen Averroès pour la Paix, la Citoyenneté et le Développement ». Depuis des années, cette association marocaine ne cesse de créer et d’inventer des activités génératrices de revenus pour les populations les plus pauvres.
Il s’agit ici de rencontrer une trentaine de femmes venant de milieux défavorisés et de créer une coopérative d’apicultrices. Les futures apicultrices seront formées par nos soins. Tout le matériel d’apiculture leur sera offert et une miellerie leur appartenant sera installée sur place. D’ici peu, nous vous proposerons de parrainer ces nouvelles ruches et de soutenir ces femmes dans leur recherche d’indépendance.
Fabrice est en mission au Tadjikistan, au cours d’une de ses expeditions il est tombé sur un rucher ! Voici quelques photos ainsi que le message qu’il nous a fait parvenir.
Depuis la mi-avril l’hiver s’éloigne du Tadjikistan et la période des premières miellées s’ouvre. D’une semaine à l’autre ces hautes vallées se couvrent de milles fleurs comme après l’orage dans les déserts chauds et les grandes plaines africaines. Un phénomène très particulier. Les apiculteurs locaux transhument souvent leurs ruches dans les vallées accessibles uniquement par la route à mesure de l’évolution des floraisons. J’ai eu la chance de gouter quelques-uns de ces nectars, frais et fruités à la fois, un délice.
Les apiculteurs New-Yorkais sont réjouis ! Le département de la santé a légalisé l’apiculture urbaine depuis l’interdiction de 1999 par l’administration Giuliani.
Le maire avait fait interdire plusieurs espèces d’insectes et animaux jugés dangereux pour l’Homme. En plus des abeilles, les furets, les serpents, les crocodiles et curieusement les zèbres ont été bannis.
Malgré une pénalité tutoyant les $2 000, de nombreux apiculteurs new-yorkais ont installé ou ont continué à entretenir des ruches dans leur jardin ou sur leur rooftop, profitant d’une application laxiste de la loi.
Avec la médiatisation croissante des bienfaits de la production de miel en ville, notamment la pollinisation des espaces verts et l’installation par Michelle Obama d’une ruche sur la pelouse de la Maison Blanche, la communauté apicole de New York avait des arguments de poids pour demander la fin de l’interdiction.
D’autres villes avaient d’ailleurs sauté le pas bien avant New York : Paris notamment a fait installer des ruches sur le toit du Grand Palais et dans le Jardin du Luxembourg.
Source : Le Ben Franklin post, article du 18/03/2010
La compagnie La Parlotte propose le spectacle « Qui Miel me suive ».
Spectacle burlesque et éducatif , il permet de connaître davantage la vie sociale des abeilles tout en mettant l’accent sur les dangers qu’elles rencontrent.
La compagnie La Parlotte propose d’apporter lors de vos manifestations une animation ludique en interagissant avec tout type de public.
Un spectacle qui apporte une prise de conscience quant à la préservation de l’environnement et plus spécifiquement des abeilles tout en montrant l’importance d’adopter des comportements protecteurs à leur égard.
Pour plus de renseignements sur la mise en place de ce spectacle et consulter les autres spectacles proposés :
Compagnie La Parlote
créatrice et productrice de spectacles à orientation écologique.
Avenue de Lançon – 84400 Apt – Tél 04.90.74.58.89
Un toit pour les abeilles et Ecolutis sont au salon PRODURABLE depuis hier et jusque ce soir
Paris La Défense CNIT, STAND B1
Venez nous voir !
Voici notre coup de cœur du jour présenté en avant première.
Alerte à la ruche !
Édité par Arthur et Cie et en vente dès le 22 mars
Auteur et illustratrice: Séverine Dalla
Prix public TTC : 8,60€
Cet album est éco-conçu :
– papier issu de forêts gérées durablement (PEFC),
– encres à base d’huile végétale,
– imprimeur labellisé Imprim’Vert et certifié ISO 14001.
Un petit résumé :
Clara, jeune abeille rebelle, part à la recherche de pollen et découvre en chemin des ruches désertes…
Ce petit album se propose, sans dramatiser, de sensibiliser les enfants à la disparition des abeilles, un phénomène d’une importance capitale.
Il est complété par des informations pédagogiques, un jeu détachable sur la vie de l’abeille , ainsi qu’un sachet de graines de fleurs sauvages mellifères
pour que les éco-citoyens de demain puissent agir eux aussi. Car la disparition des abeilles n’a rien d’une fatalité !
Le 28 Février dernier, la tempête Xinthia s’abattait sur l’Ouest de la France.
Cette nuit-là, le vent souffla fort sur les ruches de Fouras.
Au lendemain, l’équipe Un toit pour les abeilles était sur place pour constater les dégâts.
Ruches retournées, déplacées par le vent, fort heureusement pour nos amies les abeilles, ces dernières n’avaient pas encore investi leurs nouvelles demeures.
Une remise en état et en ordre s’est tout de même imposée mais plus de peur que de mal !
A la sortie de l’hibernation et ce, dès l’arrivée des beaux jours, elles pourront enfin emménager dans les ruches de leurs parrains.
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