Après les premières visites, Philippe a constaté un taux de mortalité qui approche les 33%, ce qui est un meilleur taux comparé aux hivers précédents.
Pour la première fois, il a décidé d’hiverner l’essentiel de son cheptel sur le littoral, dans la forêt domaniale de l’Esterel.
Philippe a pris cette décision car certaines de ses ruches n’auraient pas supporté un hivernage en montagne.
Pour celles d’ailleurs restées en montagne, il a constaté un taux de mortalité similaire à celles présentes sur le littoral.
Ce qui indique que les conditions hivernales ont été relativement clémentes. Toutes les ruches survivantes ont de bonnes réserves de miel.