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L'apiculteur : Frédéric JULIEN

UTPLA apiculteur Frédéric JULIEN

Apiculteur depuis une quinzaine d’années, j’ai débuté avec seulement quelques ruches au départ…
Suite à une reconversion il y a 3 ans, je me suis installé en professionnel avec un cheptel qui compte aujourd’hui une centaine de ruches.

Mes ruchers d’hivernage se trouvent au pied du Garlaban, ce qui me permet, selon les années de récolter du miel de Romarin, de Thym ou de Garrigue.
Je suis apiculteur transhumant sur les châtaigniers d’Ardèche, la lavande des Alpes de Hautes Provence ou en Montagne.
Depuis le début de mon activité, je m’efforce de respecter le cahier des charges de l’apiculture biologique. Depuis maintenant deux ans, je suis certifié apiculteur bio avec le label AB..
Au cours de l’année, toute la famille participe aussi aux diverses activités : mon fils pour les transhumances, ma femme pour les visites de rucher, ma fille pour l’extraction et le mise en pots. L’apiculture chez nous est un engagement familial !

En plus de la vente de miel, je me suis spécialisé dans l’élevage et la sélection de reines. Je propose à la vente des essaims, des reines ou cellules royales.
Voilà un petit aperçu, et si vous passez par chez nous, nous serons heureux de vous accueillir pour vous faire découvrir le rucher des JULIEN.

Je vous invite au rucher

Chers Parrains et Marraines,

Nous avons le plaisir de vous accueillir le Samedi 30 mars 2024 de 14h à 18h à la miellerie et sur le rucher d’élévage.
Venez découvrir le monde fabuleux des abeilles et échanger sur notre métier d'apiculteur.
Au programme :

- Visite du rucher avec ouverture de ruches pour ceux qui le souhaitent
- Visite de la miellerie
- Ouverture de ruches pour ceux qui le souhaitent
- Dégustation et en vente de miel

Pour ceux qui désirent visiter une ruche, enfilez une combinaison et venez observer les abeilles en direct, pour découvrir cette société incroyable !
Les tenues de protection sont fournies, mais pensez a venir en pantalon et chaussures fermées.

Bien entendu, le bon déroulement de la journée sera fonction de la météo puisque les abeilles n'aiment pas la pluie et dans ce cas le report de l'évènement vous sera proposé.
Nous espérons vous voir nombreux!
Cette journée dédiée à l'apiculture est gratuite.

Pour en savoir plus ou vous inscrire c'est par ICI

* Merci de bien lire nos recommandations concernant la présence d'abeilles sur le site au moment de votre inscription.

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Le Rucher de Garlaban

Le Rucher de Garlaban

Le rucher est situé au pied du Garlaban, colline chère à Marcel Pagnol, Situé au-dessus du petit village de Lascours.
Il domine toute la vallée de l’Huveaune et le pays d’Aubagne.

Il est niché sur des restanques, « bancaou » en provençal.
Les abeilles partent butiner les romarins, thyms, sumacs et autres plantes aromatiques de la garrigue.
Ce qui permet de récolter un miel de printemps très clair au parfum de thym et romarin, puis un miel de garrigues beaucoup plus foncé et plus fort en bouche.
Elles apportent aussi un excellent pollen de cistes cotonneux.

Suivant les années, je peux aussi récolter du miellat de chêne.
Au mois de juin, le rucher transhume sur les champs de lavande, pour y revenir ensuite au début de l’hiver.

L'apiculteur : Juliana CLERMONT

UTPLA apiculteur Juliana CLERMONT

L’opportunité de mon installation est venue de ma famille. Mon beau père, qui allait partir à la retraite a soutenu l’envie et la curiosité que j’avais pour le monde des abeilles, en m’offrant mes premières ruches. Il m'a également offert son immense soutien. Ma belle-mère et lui, avaient créée 20 ans auparavant, un très beau point de vente à Puy Saint Vincent. Ils m’ont donné l’opportunité de le reprendre. J’ai embrassé cette reconversion avec joie et confiance, d’abord parce que les abeilles ont suscité en moi une véritable passion. Mais aussi parce que la miellerie m’offrait la possibilité d’une installation portant non seulement sur la production de miel, mais aussi sur la confection de produits dérivés (pains d’épices, nougats etc.), de quoi rêver quand on a la fibre pâtissière.

Au fil des années et après une saison de stage et de nombreuses formations, j’ai augmenté mon cheptel et me suis officiellement installée en juillet 2016 avec 130 ruches. Aujourd’hui j’atteins mes objectifs avec près de 300 colonies en hivernage.
J’ai obtenu le label Agriculture biologique novembre 2018. L'ensemble de ma production est aujourd'hui certifiée, miels et produits dérivés.
J’ai choisi de vivre avec ma famille à Forcalquier (04), j’hiverne mes colonies dans les communes autour de chez moi et dans les Bouches du Rhône.
Je produits deux miels : Un Miel de Lavande et un de Miel de Fleurs de Hautes Montagnes.

Belle année 2024

Bonjour à tous

Tous nos voeux de joie, de lumière et de paix,

une bonne santé.

Jérémy va commencer doucement à renprendre le travail aux ruches et moi je le suis de l'interieur.

Le poele tourne et je reste au chaud.

Je suis dans une bonne forme malgré tout et j'espère arriver à rester calme et sereine à l'approche du printemps, je vais bouillir d'envie d'aller aux ruches, je sens déjà la frustration me piquer le nez.

Mais guerir reste ma priorité cela me demande d'être centrée pour retrouver mon encrage et mes forces.

Je vous remercie du fond du coeur pour tous vos messages et preuves d'amitié, je suis très touchée, émue.

Dans cette étonnante relation qui nous lie il m'a été possible de vous rencontrer à travers nos échanges  et de me sentir liée à vous.

Que le bonheur soit à vos côtés à tous.

Portez-vous bien.

Juliana

 

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Le Rucher de Forcalquier

Le Rucher de Forcalquier

Mon objectif est d’avoir 300 colonies (ruches ou ruchettes) en hivernage chaque année. En période de production je divise mon cheptel en deux, une partie est aménée dans les Hautes alpes et y restera jusqu'en septembre et l'autre partie est répartie sur les différents sites de production de miel de lavande dans les Alpes de Hautes provence.

J’aime travailler des petites unités, c’est pourquoi mes ruchers sont composés au maximum de 40 ruches.  Je me suis installée en rêvant d’une apiculture sédentaire, mais la réalité des ressources doit nous conduire à faire évoluer nos schémas pour que les abeilles vivent au mieux, donc j'hiverne plus au sud du département une partie de mon cheptel.
Au printemps et en été les abeilles peuvent trouver du nectar ou du pollen sur les amandiers, le romarin, la fausse roquette, les fruitiers (pruniers, cognassiers, cerisiers, poiriers, pommiers), la pervenche, le lilas, les cultures de sainfoin, le thym, le coquelicot, le piracantha, les robiniers, les tilleuls, le dorycnium, la lavande, le tournesol. A l’automne principalement du lierre et de la sarriette.

Nous avons choisi avec mon époux qui travaille le bois, de traiter l’ensemble des nouvelles ruches à l’huile de lin chaude en les baignant, les anciennes ruches sont au fur et à mesure repeintes avec une peinture à la farine mélangée à un oxyde naturel rouge. j’accorde beaucoup d’importance à la qualité du matériel.
Je travaille avec deux types d’abeilles, la noire (écotype des Hautes-Alpes), l’autre partie de mon cheptel est issue d’une sélection de Marc Subirana (sélectionneur en Isère), multipliée par Laurence Monition. J’envisage de faire de l’élevage de reines, je suis avec beaucoup d’attention chacune de mes ruches.

Alors par avance merci à tous mes parrains pour leurs soutiens nombreux !

L'apiculteur : Jorris VAN BERGEN

UTPLA apiculteur Jorris VAN BERGEN

J’ai commencé l ’apiculture aux Pays-Bas, avec une dizaine de ruches dans le jardin de mes parents, et comme hobby à côté de mon emploi en tant que prof de français dans un collège.
En recherche d’un meilleur endroit pour les abeilles - et pour l’apiculteur surtout - je suis parti en voyage en 2014 et j’ai abouti dans les Alpes Maritimes,
où j’ai fait du wwoofing (Lien : www.wwoof.fr) chez un autre apiculteur du réseau Un Toit pour les Abeilles, Philippe Chavignon.
Ebloui par la beauté environnante et le bien-être des abeilles, j’ai fini par trouver ma vie dans cet endroit.
Je m’installerai apiculteur à titre exclusif en 2019 après avoir obtenu mon diplôme agricole avec spécialisation apicole.
Je conduis mes ruches en AB, label qui correspond à mes valeurs et à ma personnalité.
Je m’installerai à Saint-Léger, pittoresque village à 45 minutes du "Rucher des Gorges de Daluis" sur lequel est greffé mon exploitation, que j’ai baptisée le "Rucher Au Septième Miel".

Une saison difficile

Chères marraines, chers parrains,

Un petit mot pour vous raconter l’état de mes abeilles et l’avancement de ma saison.

Ma saison a été difficile, sans doute la plus difficile depuis mon installation. Une sortie d’hiver ok mais avec beaucoup de besoin de nourrir les ruches. Ensuite des récoltes qui n’atteignent même pas le quart de ce que l’on fait d’habitude au printemps, puis les pluies très très attendues en fin de printemps.

Après ces pluies abondantes, la miellée sur les lavandes allait être magnifique -  on y croyait tous. J’ai même mobilisé ma trésorerie pour investir dans des hausses car je pensais en manquer. La déception n’aurait guère pu être plus grande : le sirocco (vent sec du sud) s’est levé vers la mi-août mettant fin à toute miellée. Et ce qui est pire : des chenilles ont dévoré les plants de lavande. Les apiculteurs provençaux peinent cette année, mais pour les lavandiculteurs c’est la catastrophe totale et il y en a pas mal qui jettent l’éponge. Aujourd’hui, le plateau de Valensole constitue des champs de lavandes arrachées à perte de vue. L’apiculture provençale est en danger : la filière de cette région à climat souvent sec est très dépendante de la miellée généreuse de lavande sur le plateau de Valensole. Pour maintes apiculteurs ce miel constitue la moitié, voire plus, de leur chiffre d’affaires et c’est mon cas. L’avenir est donc incertain et nous vivrons dorénavant de saison en saison.

Aujourd’hui, mes colonies sont plus faibles que d’habitude à cette époque. En cause est un manque de pollen diversifié, suite à une canicule prolongée qui a beaucoup fait souffrir la végétation. Nous avons perdu une soixantaine de ruches cet été – il est vrai que je n’avais plus l’habitude de ce genre de perte. De plus, je suis assez pessimiste pour l’avenir proche même si je suis content des pluies récentes très attendues. Je crains juste qu’elles aient été trop tardives. Les abeilles ont besoin d’une période de forte dynamique entre septembre et octobre pour constituer les abeilles d’hiver : ces abeilles vivent beaucoup plus longtemps – passent l’hiver – et ont une constitution physique différente que les abeilles d’été qui ne vivent qu’un mois. Les abeilles d’hiver ont besoin de recevoir une nourriture de grande qualité au stade larvaire, mais en manque de pollen les nourrices ne peuvent pas offrir cette nourriture extrêmement riche en acides aminées et autres protéines. Les abeilles d’hiver naissent donc faibles et mourront précocement en sortie d’hiver. Les colonies peineront au mois de février/mars et je le sais déjà. Il n’y a rien que je puisse faire, car étant en Agriculture Biologique, le nourrissage de protéines est proscrit. Je comprends bien pourquoi, mais parfois on aimerait juste donner tout ce qu’on peut à ces abeilles et c’est un peu frustrant que ce ne soit pas autorisé.

Il y a aussi de bonnes nouvelles : j’ai occupé de nouveaux emplacements dont certains ont fait de jolies surprises. Un emplacement en particulier, à 1400 mètres d’altitude, a fourni aux ruches présentes une belle miellée de lavande sauvage. Malheureusement, ces lieux sont assez rares et la miellée de lavande fine est très capricieuse.

Une autre bonne nouvelle c’est que j’ai réussi à faire un beau progrès sur le potentiel génétique de mes colonies. J’ai pu sélectionner des souches importées dans mon exploitation aux qualités rustiques et j’observe vraiment leur meilleure adaptabilité face notamment aux aléas climatiques et aux creux de miellées prolongés. Il est extrêmement important pour la survie de l’abeille d’être à la recherche d’une génétique pouvant faire face aux changements climatiques et je pense être sur la bonne voie. Le changement climatique reste à mon avis le défi le plus dur de l’apiculture de demain.

A bientôt, chers parrains, et merci beaucoup pour votre soutien qui semble être plus pertinent que jamais.

Jorris

 

 

 

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Le Rucher au Septième Miel

Le Rucher au Septième Miel

Je suis passionné par le monde des abeilles et par l’apiculture, et j’ai aujourd’hui la formidable chance d’en faire mon métier.
Je possède actuellement une centaine de ruches, et le projet est d’atteindre les 300 ruches, ce qui me permettrait à moi et à ma famille de vivre de cette activité.
C’est un très beau métier, mais qui connaît beaucoup de défis au quotidien, non seulement liés à la fragilité de l’abeille dans la nature de moins en moins sauvage,
mais aussi aux charges de travail très concentrés sur la saison apicole.
J’élève moi-même les reines et les essaims nécessaires pour l’exploitation, ce qui est un facteur clef dans la réussite en bio.
C’est ce qui me permet d’avoir des reines de qualité, l’offre sur le marché étant très limitée.
Voilà tout est dit, si ce n’est que j’ai besoin de vous pour aboutir à ce rêve ambitieux mêlant préservation de la nature et protection de l’abeille.

Que se passe-t-il ce mois-ci sur votre rucher ?

Chères Marraines, chers Parrains,
Le mois d’avril marque la transition entre la fin de la période de pause hivernale et le redémarrage intense de l’activité pour nos abeilles.
C’est une période charnière durant laquelle vos parrainages vont permettre aux apiculteurs de palier les pertes d’hiver et maintenir les colonies en bonne santé, assurant ainsi la pérennité d’un beau métier.
 
En ce...




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