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Les ruches en images

  • La ruche Parex lanko
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L'apiculteur : Lionel POTRON

UTPLA apiculteur Lionel POTRON

Je suis apiculteur amateur depuis plus de 20 ans, en pro depuis 2016.
Passionnés d’apiculture, amoureux de la nature et Parisien, c’est tout naturellement que je me suis dirigé vers la production de miel de Paris en créant APIS CIVI.
Les premières ruches de notre société ont été installées en 2016 à proximité des parcs et jardins de la capitale afin de contribuer directement à la pollinisation
des arbres et fleurs qui composent la biodiversité de Paris.
Le 16ème arrondissement avec sa proximité du Bois de Boulogne et le parc des Buttes-Chaumont nous ont ouvert les bras et c’est ainsi que le miel de Paris APIS CIVI a commencé.
Les Champs-Elysées, Montmartre ainsi que Belleville ou encore les Batignolles ont donc été peuplées de nos ruches.
En 2019, la société a travaillé sur le déploiement sur la rive gauche et ce sont les 13ème, 14ème et 15ème  arrondissements qui ont été développés.
En 2017, unique producteur de miel labélisé « fabriqué à Paris », APIS CIVI reçoit de la part de la Mairie de Paris le coup de cœur d’un jury.
En 2018, le miel de Paris APIS CIVI a obtenu la médaille d’or du Concours Général Agricole pour la catégorie des miels multifleurs clairs.
En effet, notre miel de Paris sans pesticide profite d’une variété de fleurs exceptionnelle composée notamment de tilleuls, marronniers,
acacias ou encore des sophoras du Japon qui lui procure une qualité gustative unique.
Paris recense aujourd’hui plus de 2000 espèces d’arbres et de fleurs différentes que butinent nos abeilles grâce au maillage de nos ruchers.

Nouvelles de cet été

Chers parrains, marraines,

la saison s'achève et cette année ne peut être que meilleure comparée à l'an passé.

Les colonies se sont bien développées au printemps grâce à une météo clémente.

Beaucoup de travail avec un essaimage très présent du aux pics de chaleurs qui s'en sont suivis.

C’est à dire que la plupart des essaims cherchaient à se diviser en deux et à s’envoler… cela a occasionné un travail intensif.

La météo avec alternance de pluie et de soleil a permis de belles floraisons et des miellées correctes.

Actuellement je prépare l'hivernage avec quelques dernières hausses de miel à récupérer sur les ruches, veiller à ce que les colonies aient suffisamment de réserves aussi pour passer l'hiver.

Enfin c'est la période du traitement contre le varroa. Ce parasite se développe dans le couvain et peut affecter de manière importante la santé des abeilles, en propageant des maladies et en affaiblissant les abeilles. Prodiguer les soins est donc nécessaire à l'apiculteur pour maintenir ses populations d'abeilles saines et préparer déjà 2024.

Bien à vous !

 

 

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Le Rucher du Canal Saint Martin

Le Rucher du Canal Saint Martin

Ce rucher possède 5 ruches et il peut en accepter 5 de plus.
Les espèces d’arbres alentours sont le marronnier et le tilleul.
Ce miel de fleurs est liquide et corsé.
Ruches : Langstroth et Dadant

L'apiculteur : Denis SIGUIER

UTPLA apiculteur Denis SIGUIER

"Les arbres volent,
de places en places,
sur le dos des abeilles." (DS)

Je suis originaire de Corse et pratique l’apiculture depuis 1998.
J’ai d’abord été initié et formé à l’apiculture par un ami apiculteur professionnel.
Travaillant dans la conservation des variétés fruitières et légumières locales et la sauvegarde des savoir-faire traditionnels,
j’en ai profité pour développer mes connaissances en apiculture auprès des anciens.
Puis j’ai franchi le pas et décidé de devenir apiculteur professionnel, mais après plusieurs années de travaux,
mon cheptel a été totalement détruit par un immense incendie qui a ravagé le Cap Corse…

Titulaire d’une solide formation agricole Bac agricole (Agronomie, aménagement-environnement),
du brevet professionnel de responsable d’exploitation agricole (en apiculture),
d’un BTS agricole Gestion et Protection de la Nature (spécialité Gestion d’Espaces Naturels),
et d’une formation d’Ingénieur Ecologue, j’ai recommencé à zéro et choisi de créer mon exploitation en Charente (en Agriculture Biologique).
Ma connaissance de la nature me permet de sélectionner les meilleurs environnements non seulement pour produire des miels AB de qualité,
mais aussi pour contribuer activement à la conservation de la nature et de la biodiversité.

Après constitution de mon cheptel, et installation agricole, je suis en phase de développement de mon projet de conservation de la biodiversité dans la Vallée de l'Or (en partenariat avec le Conservatoire des Espaces Naturels de Nouvelle-Aquitaine).

Les abeilles, la nature et moi, avons aujourd’hui besoin de votre soutien !

Miels et produits de la ruche certifiés Agriculture Biologique - France par Ecocert, labellisés "Bio Sud-Ouest france" (garantie d'origine). En cours de labellisation "Paysan de Nature".

EARL Ferme Apicole et éco-logis de la Vallée de l'Or
16 350 - Champagne-Mouton
SIREN : 892 180 258 00014

Des saisons apicoles de plus en plus compliquées…

Chère marraine, cher parrain,

L’apiculture est une activité qui nécessite une programmation stratégique à moyen terme et court terme (il faut repérer des emplacements favorables et qui offriront une ressource satisfaisante à une bonne miellée, en imaginant le goût et la qualité du miel produit, trouver les propriétaires, signer des conventions de mise à disposition, préparer les ruchers, réaliser un plan de rotation des ruchers en fonction de la succession des floraisons, tout en organisant les travaux des différentes saisons).
Mais en même temps, l’apiculture est l’élevage dont les animaux ont le cycle de vie le plus bref, nécessitant une forte réactivité et une grande capacité d’adaptation à la météo et aux différentes problématiques rencontrées.

La pratique d’une apiculture biologique et respectueuse de la nature, ajoute de nombreuses contraintes qui limitent les choix possibles (emplacements favorables sont beaucoup plus rares qu’en conventionnel), les temps de travaux plus longs (sans compter les démarches et travaux liées à la traçabilité et à la certification), les fournitures plus rares (cires, essaims, reines notamment) et coûteuses. 

Précisons également que l’apiculture est le seul élevage dans lequel on fournit le gîte aux animaux tout en laissant les portes du logement ouvertes… en cas d’oublis ou de mauvais soins les essaims et colonies peuvent quitter les ruches. Et dans ce cas, on ne peut pas courir après pour les rattraper !

Depuis les années 90, le parasitisme généralisé par Varroa destructor (sorte de poux qui leur suce le « sang » - hémolymphe – et transmet des virus), diminue fortement le volume des récoltes et surtout cause de fortes pertes de ruches. Ces pertes de ruches sont amplifiées par les pesticides et maintenant par la prédation massive par le frelon à pattes jaunes (Vespa velutina), dit « frelon asiatique ».

L’apiculteur essaie d’adapter ses pratiques à ces nouvelles contraintes mais les marges de manœuvre diminuent et les résultats (production, élevage de reines, survie à l’hivernage) sont dépendants  de la météorologie. En outre, si avant on recourrait à l’expérience et aux techniques des anciens, le nouveau contexte oblige à chercher, tester, inventer et innover (avec le risque d’erreurs associé…). 

Par exemple, depuis 2 ans, la douceur climatique a repoussé la mort des frelons au 10 décembre générant des pertes de ruches importantes.
Et, comme pour chaque problématique exposée, chaque problème génère des temps de travaux supplémentaires et des pertes sèches.
En l’occurrence, les pertes de ruches obligent à réaliser beaucoup plus d’élevage de reines et production d’essaims, voire d’achats de cheptels.

L’élevage de reines et la production se fait au printemps, au détriment de la production de miels.
Et justement, la météo printanière est de plus en plus clémente, avec des floraisons abondantes et de plus en plus groupées.
Ainsi, celui qui pratique l’élevage de reines passe à côté du plus gros potentiel de production.

Cette année comme l’an dernier, des canicules précoces ont fortement diminué la production de miel de châtaigner.
Comme vous devez le savoir, partageant notre amour pour les abeilles, nos butineuses vont récolter du nectar dans les fleurs (se couvrant de pollen pour assurer la pollinisation) et la production de nectar est fonction de la température ambiante.
Pour chaque fleur, il y a une température limite au-delà de laquelle la production de nectar devient nulle (la plante préservant ses maigres ressources en eau). Cette température est par exemple de 24° C pour le Sarrasin.

Vous le comprendrez aisément, cette année comme l’année dernière, la production estivale de miels a été très faible faute de production de nectar du fait des canicules et du manque d’eau…

Les apiculteurs touchent donc aux limites de leurs capacités d’adaptation ; nous ne maîtrisons pas la météo et la subissons de plus en plus…

Plus de travail pour moins de miels, voilà la tendance de ces années qui battent des records de températures moyennes.
Et pourtant, les temps nécessaires aux autres travaux ne diminuent pas (on rêverait par exemple que la charge administrative diminue, mais la tendance est plutôt à l’inverse…).
La diminution de la production génère une baisse de rentabilité aggravée par l’inflation et l’augmentation de tous les coûts.

Voici le tableau de l’apiculture actuelle… les abeilles sont de plus en plus menacées.
Mais de plus en plus ce sont les apiculteurs qui sont menacés !

En cet automne, été indien sans fleurs, il me semblait important de vous expliquer les difficultés que rencontre la filière apicole en France plutôt que de vous parler de mon petit cas particulier.

Allez, à charge de revanche, je vous relaterai les avancées des (autres !) travaux de cette année dans mes nouvelles de cet hiver. J’espère que nous aurons l’occasion de nous rencontrer lors des visites de rucher au printemps afin de pouvoir vous expliquer tout cela plus en détail et répondre à vos questions.

En espérant que ces mots vous trouvent ainsi que vos proches en bonne santé et épanouis, je vous adresse de ma part, et surtout de celle des abeilles un grand merci de votre soutien (qui devient de plus en nécessaire dans ce contexte compliqué !).

Votre apiculteur AB pour Un toit pour les Abeilles,

Denis

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Le rucher La Ruche.bio

Le rucher La Ruche.bio

Le rucher parrainé par un « Toit pour les abeilles » est situé au cœur d’une vaste forêt (3 km de rayon) afin de garantir la production de Miels Bio.
Cette forêt de Charente Limousine est classée en ZNIEFF de type 1 (Zone Naturelle d’Intérêt Ecologique, Faunistique et Floristique)
au sein d’un vaste ensemble naturel avec rivières, prairies et boisements (classé en ZNIEFF de type 2).

Ce rucher environné de feuillus et de résineux est un véritable sanctuaire pour les abeilles
qui y trouvent toute l’année des ressources de qualité !
Ce rucher permet de produire des Miels certifiés AB (Agriculture Biologique – France, certification par Ecocert)
de Châtaigner, Acacia, Forêt, voire de Ronce et Callune (« Bruyère »).
Des miels authentiques issus de la flore naturelle !

L'apiculteur : Jean-Charles BUREAU

UTPLA apiculteur Jean-Charles BUREAU

Artiste et apiculteur, j'ai suivi mes études au beaux-arts de Paris.
Je suis maintenant artiste, vous pouvez voir mon travail sur mon site jean-charlesbureau.com.
En parallèle, je me suis lancé en tant qu'apiculteur, par passion et pour trouver un équilibre financier entre ces deux activités.
L'apiculture m'est venue assez jeune, par le biais malheureux de la sclérose en plaque de ma mère.
En regardant les bénéfices potentiels des produits de la ruche pour ce genre de maladie, mon intérêt s'est naturellement orienté sur les abeilles.

J'ai énormément lu sur le sujet jusqu'au jour où j'ai sauté le pas.
Je me suis formé auprès d'un apiculteur en Bretagne.
Dès mon arrivée à Marseille il y a deux ans, j'ai continué à travailler avec un autre apiculteur du réseau Un Toit Pour Les Abeilles, Denis Fiorile auprès duquel je me forme encore et à qui je rachète l'exploitation au fur et à mesure.
J'ai commencé mon exploitation avec une quarantaine de ruches, je suis dorénavant avec une centaine et le projet à venir dans les prochaines années est de monter à 200 ruches et labélisé Bio mon exploitation
Vous pouvez suivre mon exploitation tout au long de la saison sur instagram ou facebook sur MIEL BUREAU. J’y explique précisément le travail effectué au jour le jour.

Ca y est la saison commence!

Chèr.es Marraines et Parrains,

 

Les abeilles sont bien sorties d'hivernags (si on peu dire qu'elles y sont rentrées un jour).

Le romarin est en fleur, la pluie est au rdv mais le froid et le vent cassent un peu le rythme de croissance des colonies.

Aujourd'hui le travail est surtout de bien suivre les colonies.

Elles sont en pleine croissance et consomment beaucoup de provisions afin de chauffer le couvain.

Il faut donc bien surveiller la présence de nourriture.

Je vous tiens au courant rapidement des suites de la saison.

 

A bientôt!

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Le rucher de Roquevaire

Le rucher de Roquevaire

Ce rucher se situe à Roquevaire, une vue majestueuse sur le Garlaban.
Les abeilles iront butiner principalement sur le romarin dès le début du printemps, très tôt par ici. Un miel de Garrigues se présentera petit à petit avec l'arrivée du thym.
Les abeilles se chargeront en pollen avant la grande transhumance sur les champs de lavande de Provence.

Ces trente ruches en activité mélangent des abeilles noires locales et la buckfast classique.

Que se passe-t-il ce mois-ci sur votre rucher ?

Chères Marraines, chers Parrains,
Permettre à des élèves de dorloter des abeilles qui ne piquent pas ?
C’est la super initiative lancée par nos collègues des Dorloteurs d’Abeilles.



Dès le lancement du projet, ils ont échangé avec de nombreux enseignants, ultra-motivés à l’idée de lancer un atelier autour des abeilles solitaires avec leurs élèves.
Mais ils ont vite &eacu...




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