MONOCHROMIC

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Fondée en 2013 par Karine Lanny, MONOCHROMIC est une marque française éditrice et fabricante d’objets iconiques en céramique. Monochromic fait le pari audacieux et radical de réunir artisanat et création conceptuelle : La marque phocéenne casse les codes avec poésie et humour, élaborant un concept d’objets décoratifs résolument contemporains, chargés de symboles et d’influences artistiques. Les artisans qualifiés qui veillent à la production sont passionnés par le travail de l’argile et de la céramique. Animés par le souci du travail bien fait et minutieux, ils reprennent des méthodes traditionnelles et ancestrales, loin des processus de fabrication industriels.


Voir leur site internet

Parce qu'il est urgent d'agir, Monochromic est heureux de s'engager pour la biodiversité en rejoignant le mouvement "un toit pour les abeilles". Les créations Monochromic sont porteuses de sens. Butineuse, notre abeille en céramique représente la vie et l’immortalité et a été sculptée en symbole de l’engagement de Monochromic dans la lutte pour la survie des abeilles. Chaque Butineuse vendue finance notre partenariat et nous permet de parrainer deux ruches du rucher provençal de saint Gervais entretenues par l’apiculteur passionné Patrick Faver. Parce que nous sommes des amoureux de la terre, apporter notre soutien à un toit pour les abeilles avec qui nous partageons des ambitions de défense de l’environnement et un attachement profond à notre biodiversité est essentiel.

Les ruches en images

  • La ruche MONOCHROMIC
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L'apiculteur : Patrick FAVER

UTPLA apiculteur Patrick FAVER

C'est en 2014 que je suis devenu berger des abeilles dans le cadre d'un projet de reconversion professionnelle.
Quand j'ai conçu mon projet je me suis donné comme ligne de conduite, comme philosophie, comme éthique de ne pas transhumer mes ruches pour le bien être de mes abeilles. De là découle toute ma pratique apicole :
 
- Je ne transhume donc pas mes ruchers. Mes colonies restent toute l'année sur le même emplacement.
Je propose, chaque année, diverses saveurs de miels en fonction de la période de récolte et de la localisation des ruchers. Je peux ainsi proposer jusqu'à 6 à 7 saveurs différentes : miel du Loubatas (des collines de Peyrolles en Provence), du Luberon, de printemps, de romarin, d'été, de lavande, d'automne. Pour cela je fais de "petites" récoltes très localisées.
 
- Je ne nourris pas au sirop mes colonies (colonies de production et les essaims que je fais).
Ne transhumant pas, je choisis des emplacements qui permettent à mes abeilles de trouver de la nourriture (nectar et pollen) toute l'année.
 
- Je privilégie les petits ruchers (20 colonies au maximum)
Cela dans trois objectifs :
1.    Ne pas mettre trop d'abeilles sur une même zone de butinage,
2.    Limiter le risque de propagation de maladies (peu de ruches et limitation de la dérive)
3.    Limiter les pertes (suivant l'adage, ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier).

- Je n'achète ni reine ni essaim.
Je renouvelle mon cheptel par la réalisation d'essaims artificiels qui élèveront leur propre reine. Toutes mes colonies sont aujourd'hui issues de souches locales. Mes colonies sont mieux adaptées à évoluer en fonction de leur environnement (ressources disponibles, climat).
 
- Je récolte exclusivement des cadres de hausses et des cadres operculés. En fin de saison, je laisse les cadres non operculés à lécher.
 
- Je ne modifie pas mon miel. Une fois récolté et extrait, après quelques jours de décantation, le miel est directement mis en pots. Il n’est ni chauffé ni ensemencé et cristallise, là aussi selon les années et les saisons, plus ou moins rapidement.
 
- Les cadres dans lesquels le miel est récolté n'ont jamais été en contact avec un traitement. Cela découle du point précédent.
 
- En fonction des conditions climatiques, je privilégie mes abeilles à la récolte de miel. C'est à dire que je préfère laisser les hausses pour les abeilles plutôt que de prendre le risque de les nourrir en cas, notamment, de sécheresse. Certes, je perds une partie de la récolte mais mes colonies disposent de leur propre miel.
 
De façon plus générale, j'essaye d'être respectueux de mes abeilles et de leur développement. Elles évoluent à leur rythme.

Bilan de l’hiver 2023/24

Marraines et parrains voici quelques nouvelles de vos protégées.

Comme je le pressentais à l’automne, la prédation du frelon asiatique, particulièrement forte l’an dernier, a durement impacté l’hivernage des colonies.

En 10 ans d’apiculture, c’est la première fois que je constate un tel taux de perte, de l’ordre de 20%.

Les essaims que je vais réaliser vont certes compenser les pertes mais ce seront autant d’essaims que je ne vendrai pas et des bénéfices qui feront défaut.

Quant à la saison qui démarre nous verrons ce qu’elle nous réserve. J’ai effectué toutes mes visites de printemps et, dans l’ensemble, les colonies sont belles.

La météo est plutôt favorable, restons optimistes !

 

Votre apiculteur dévoué,

Patrick

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Le rucher Saint-Gervais

Le rucher Saint-Gervais

La plupart de mes ruches se situe dans la pointe sud-est du Vaucluse, dans le parc naturel du Luberon, entre le massif du Grand Luberon
et la Durance, proche du plateau de Valensole, au cœur de la Provence.  
C’est un site épargné par les cultures intensives où la plupart des agriculteurs travaille en méthode raisonnée sur de petites parcelles peu nombreuses.
Les milieux naturels et sauvages, sur cette zone occupent la majeure partie de l’espace.
La flore y est très riche.
Elle fournit aux abeilles : les fleurs des noisetiers, pruneliers, cornouillers, aubépines, amandiers, acacias, buis, ciste, chênes…
pour les arbres et arbustes et pour les plantes, les fleurs de romarin, pissenlit, trèfle blanc, thym, ronce, lavande sauvage et cultivée,
luzerne, sainfoin, chardon, immortelle, lierre, ainsi que de nombreuses plantes messicoles.

Que se passe-t-il ce mois-ci sur votre rucher ?

Chères Marraines, chers Parrains,
Permettre à des élèves de dorloter des abeilles qui ne piquent pas ?
C’est la super initiative lancée par nos collègues des Dorloteurs d’Abeilles.



Dès le lancement du projet, ils ont échangé avec de nombreux enseignants, ultra-motivés à l’idée de lancer un atelier autour des abeilles solitaires avec leurs élèves.
Mais ils ont vite &eacu...




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