MFIF

Depuis 1928, la MFIF apporte à ses adhérents une protection de grande qualité en matière de Santé. Cette expertise d’un seul métier, elle le pratique dans le plus strict esprit mutualiste - mutualisation des risques et des cotisations - et avec la transparence de gestion d’une structure à but non lucratif. La MFIF s’affirme aujourd’hui comme le partenaire Santé de confiance des individuels, des entreprises et des collectivités territoriales dans le respect de sa démarche éthique..
Une complémentaire innovante avec l’accès aux nouvelles thérapies Souvent en avance, la MFIF inscrit ses adhérents dans une démarche de prévention novatrice et synonyme de mieux-être. Celle-ci se traduit par l’accès possible à nombre de médecines “douces” encore souvent ignorées par la Sécurité Sociale (ostéopathie, acupuncture, diététique,...). C'est dans cet esprit de prévention et de mieux-être, qu'elle inscrit sa démarche de protection des abeilles.
Les ruches en images
Les ruches en vidéo
L'apiculteur : Lionel POTRON

Je suis apiculteur amateur depuis plus de 20 ans, en pro depuis 2016.
Passionnés d’apiculture, amoureux de la nature et Parisien, c’est tout naturellement que je me suis dirigé vers la production de miel de Paris en créant APIS CIVI.
Les premières ruches de notre société ont été installées en 2016 à proximité des parcs et jardins de la capitale afin de contribuer directement à la pollinisation
des arbres et fleurs qui composent la biodiversité de Paris.
Le 16ème arrondissement avec sa proximité du Bois de Boulogne et le parc des Buttes-Chaumont nous ont ouvert les bras et c’est ainsi que le miel de Paris APIS CIVI a commencé.
Les Champs-Elysées, Montmartre ainsi que Belleville ou encore les Batignolles ont donc été peuplées de nos ruches.
En 2019, la société a travaillé sur le déploiement sur la rive gauche et ce sont les 13ème, 14ème et 15ème arrondissements qui ont été développés.
En 2017, unique producteur de miel labélisé « fabriqué à Paris », APIS CIVI reçoit de la part de la Mairie de Paris le coup de cœur d’un jury.
En 2018, le miel de Paris APIS CIVI a obtenu la médaille d’or du Concours Général Agricole pour la catégorie des miels multifleurs clairs.
En effet, notre miel de Paris sans pesticide profite d’une variété de fleurs exceptionnelle composée notamment de tilleuls, marronniers,
acacias ou encore des sophoras du Japon qui lui procure une qualité gustative unique.
Paris recense aujourd’hui plus de 2000 espèces d’arbres et de fleurs différentes que butinent nos abeilles grâce au maillage de nos ruchers.
Nouvelles hivernales des ruches
Bonjour à tous chers parrains,
Après un automne compliqué avec un nombre de frelons toujours en hausse autour des ruches, les abeilles sont train de passer un hiver plutôt paisible assez doux ce qui permet de ne pas consommer trop de les réserves.
Les réserves de miel étant assez élevées, cela nous permet d'espérer un redémarrage rapide des ruches aux beaux jours et une production de miel plus précoce.
Si tout se passe sans coup de froid, l'activité commencera à être significative dans les prochaines semaines.
Dès que la météo sera plus clémente, nous vous enverrons des photos de vos ruches avec les abeilles actives.
Lionel

Le Rucher de Boulogne

Ce rucher possède 10 ruches et peut en accepter 10 de plus.
Les espèces d’arbres alentours sont le chêne, le pin, l’érable et le faux acacia.
Le miel de fleurs produit est liquide et boisé.
Ruches : Dadant, Langstroth, Kenyanne, Warre et tronc
L'apiculteur : Victor BRUMELOT

Je suis né dans un petit hameau des Cévennes, et malgré le fait que je me sois beaucoup déplacé pour mes études, c’est là que j’ai installé ma première ruche en 2009.
A la suite d’un BTS gestion et maîtrise de l’eau et un master en agroécologie, je rencontre Daniel, un retraité anciennement instituteur devenu apiculteur professionnel.
On échange énormément sur ce qui reste chez lui une passion tant technique qu’intellectuelle.
Il m’encourage à aller travailler avec des professionnels.
Lors d’un voyage en Tasmanie je trouve une entreprise qui m’embauche pour la saison.
De retour en France j’apprends l’élevage de reine avec Daniel que j’aide sur ses ruches.
On réalise aussi beaucoup d’essaims à la fois pour lui et pour moi. Un achat de quelques ruches me permet de faire mon élevage, et d’atteindre rapidement 50 ruches.
Le matériel a été cependant pour moi un investissement conséquent.
J’ai commencé avec de l’abeille noire et de la caucasienne.
Plus tard je fais une saison vers Annecy avec un autre apiculteur, puis à plusieurs reprises à Salon de Provence avec Silvère.
Depuis je fais presque tous les ans au moins une partie de la saison avec lui.
Mais l’éloignement géographique avec les Hautes Alpes, où je suis installé avec ma femme et ma petite fille, ne me permet pas d’envisager cette activité sur le long terme avec lui.
En parallèle d’une formation chez les compagnons en charpente je continue l’apiculture.
Je reste toujours sensibilisé aux problématiques environnementales.
Cependant, je me rends compte que continuer l’apiculture à cette échelle là (de 50 à 75 ruches) n’est pas viable économiquement,
et me permet difficilement de la conjuguer avec une autre pratique professionnelle.
Je suis pourtant dans une démarche de labellisation en Bio et je suis en questionnement sur une démarche d’installation à titre principale en lien avec la chambre d’agriculture.
Le parrainage peut me permettre de partager ma passion, de mieux faire connaître l’apiculture et ses aléas mais aussi de m’aider financièrement pour pérenniser mon projet.
préparatifs de saison
Bonjour à tous,
Concernant la fin de l'année 2024, j'ai eu la chance de partir en vacances en famille, c'était vraiment génial !
Cependant, en mon absence, rien ne s'est fait tout seul. J'ai donc commencé par déplacer les ruches restées en montagne, en direction d'Aix-en-Provence et Venelles.
Entre la comptabilité, le travail de miellerie et la fabrication de matériel, il y a eu de quoi faire.
Un point noir pour moi reste la vente du miel. Je vais donc devoir me tourner vers des grossistes qui pourraient m'en acheter, mais probablement à un prix très bas.
En même temps, je manque de place et la nouvelle saison arrive à grands pas. Alors, que faire ?
J'ai eu la chance d'adhérer au CETA des Hautes-Alpes et du 04, un comité technique apicole qui permet d'étudier les abeilles, l'apiculture, d'échanger avec d'autres apiculteurs et de s'entraider. C'est une expérience très enrichissante.
Je prévois également d'acheter des ruchettes pour la création d'essaims.
Il faudra les traiter et les assembler.
Je vais descendre dans le sud pour suivre l'évolution des ruches, notamment celles du rucher de Marseille, qui semblent plus précoces et plus fortes (en termes de miel) que les autres.
En début de saison, je pourrais poser des hausses si le miel de romarin est prêt, ou bien prélever des cadres de miel, les remplacer par des cires gaufrées et réapprovisionner d'autres ruches.
Jusqu'à présent, les pertes hivernales sont très faibles, mais l'hiver n'est pas encore terminé et le printemps reste incertain.
Nous devons donc rester vigilants et préparer la saison dans les meilleures conditions possibles.
Merci pour votre précieux soutien !
Bien à vous,
Victor

Le Rucher de Lus-la-Croix-Haute

Depuis janvier 2021 je suis en agriculture Biologique et j'utilise des ruches Langstroth qui ont la particularité d'être plus légères et facilement manipulables.
Une partie de mon cheptel se situe aujourd’hui à Veynes, une petite ville de la vallée du Buëch.
De façon générale la flore du Buëch est en partie liée à une activité d’élevage (prairies, haies).
Le pissenlit est une des premières réelles miellées après le saule.
Il y a beaucoup d’arbres fruitiers dans les hautes alpes, mais seul les vielles plantations extensives ou
les fruitiers sauvages permettent d’y installer des ruches sans craindre une intoxication aux pesticides.
Les prunelliers, aubépines et autres arbustes permettent également de maintenir les colonies.
Certaines zones sont bordées de marronniers et d’acacias.
Sur mon rucher de montagne après Lus La Croix Haute, au fond du vallon de la Jarjatte, les prairies semis permanentes et permanentes
font la joie des abeilles ainsi que les forêts de résineux. J’espère qu’elles apprécient la tranquillité et leur vue sur les montagnes du Dévoluy.
Que se passe-t-il ce mois-ci sur votre rucher ?
Le mois de mars marque un moment important pour les abeilles. L’hiver touche à sa fin, le printemps commence à s’installer, et petit à petit, la nature se réveille.
Après plusieurs mois à économiser leurs forces, les abeilles sortent enfin de la ruche dès que les températures le permettent.
Mais attention, ce n’est pas encore la grande saison des fleurs.
En cette p...