CAPENSIS

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Depuis sa création en 2002, Capensis s’est développé avec un objectif constant : fournir à ses clients des solutions d’infrastructures pérennes et fiables autour des technologies Linux et Open Source. Capensis est aussi éditeur de la première solution d’hypervision Open Source du marché : Canopsis. Notre valeur ajoutée ? Un double cœur de métier synergique et une équipe de capeneur·euse·s passionné·e·s !


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Fidèle aux valeurs de l’Open Source et du Libre, Capensis est impliqué dans divers projets RSE reposant sur 4 thématiques majeures : les conditions de travail, la santé, l'inclusion et le développement durable. Pour aller plus loin dans ce dernier volet, nous avons choisi de nous associer avec Un toit pour les abeilles. Notre engagement ? Pour chaque nouveau client Canopsis, Capensis parraine l’installation d’une ruche de ± 40.000 abeilles et la plantation de 100 m2 de jachère fleurie aux alentours pour préserver la biodiversité !

La ruche en images

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L'apiculteur : Amandine et Grégory BONVIN

UTPLA apiculteur Amandine et Grégory BONVIN

Nous sommes âgées respectivement de 39 ans et 40 ans, mariés avec 3 enfants de 8 ans et de 5 ans (des jumeaux).
Depuis longtemps, nous sommes amateurs de miel et de ses préparations dérivées.
Le monde de l’apiculture et surtout le fonctionnement au sein de la ruche ont amplifié notre intérêt et notre curiosité pour cette société miniature.
C’est en 2019, après plus de 16 ans en cabinets comptables et les naissances de nos 3 enfants, qu’Amandine prend la décision de changer son orientation professionnelle avec 2 objectifs majeurs :
* Être en phase avec ses convictions écologiques et familiales
* Être responsable de son devenir et de ses choix professionnels : « depuis longtemps, je souhaite entreprendre et créer mon entreprise ».
Quant à Grégory, partageant cette passion et après plus de 20 ans dans le milieu de l’ingénierie industrielle aéronautique, il a pu profiter d’une possibilité de départ de son entreprise avec la conjoncture Covid.

Amandine a pu forger son expérience en apiculture notamment dans la production de gelée royale et dans la gestion de son cheptel d’une centaine de ruche.
Mais ce projet a aussi une autre dimension.
Dans une volonté de continuité et de transmission familiale, nous avons choisi de reprendre les ruches du père de Grégory, décédé en 2012, qui étaient restées en l’état depuis 8 ans.
Cela devient donc un projet de couple et de famille.
Nous nous connaissons depuis plus de 20 ans et nous sommes complémentaires avec Amandine sur la gestion du cheptel de production de gelée royale et de miel, la maitrise technique de ce type d’élevage et la partie comptabilité de l’exploitation.
Grégory aura la charge de la gestion génétique du cheptel (production de cellules royales, de reines fécondées et d’essaims), de la transformation des produits, de la gestion des process de fabrication, de la partie commerciale et de la communication.
La récolte et les visites de routine des ruchers seront faites conjointement.
Nous proposons aussi des visites pédagogiques de notre exploitation et des séances d’éveil sensoriel au miel.

Début de saison 2025

Le début de la saison apicole s’est déroulé dans un contexte climatique relativement doux, bien que ponctué d’épisodes pluvieux et venteux. Ces conditions changeantes ont légèrement avancé certaines floraisons, notamment celles du colza et des arbres fruitiers, permettant ainsi un redémarrage rapide des colonies dès le mois de mars.

La sortie d’hivernage a globalement été positive, avec un excellent taux de survie des colonies. Les reines ont repris leur ponte de façon soutenue, favorisant une bonne dynamique de développement des populations. Dans les zones moins florifères, quelques apports de sirop et de compléments protéinés ont été réalisés pour accompagner cette reprise.

Le développement des ruchers s’est poursuivi de manière régulière tout au long des mois d’avril et de mai. Des hausses ont pu être posées dès la mi-avril sur les colonies les plus actives. La surveillance du risque d’essaimage a nécessité plusieurs interventions, notamment des divisions de colonies fortes afin de préserver leur productivité et limiter les pertes naturelles.

L’activité d’élevage de reines a démarré fin avril. Les premiers résultats sont satisfaisants, avec un bon taux d’acceptation au greffage et des fécondations globalement encourageantes, malgré des conditions météorologiques parfois instables. La sélection reste rigoureuse, fondée sur des critères de douceur, de production et de tenue au cadre.

Les premières miellées de printemps, sur colza et fruitiers, ont offert des volumes modérés mais une qualité remarquable. Surtout, la miellée d’acacia 2025 se distingue par son excellence : les conditions météorologiques ont permis une floraison longue et régulière, produisant un miel clair, délicatement parfumé et d’une grande pureté — un millésime d’exception.

Enfin, sur le plan sanitaire, les colonies affichent un bon état général. Les traitements post-hivernaux contre le varroa ont permis de maintenir les niveaux d’infestation à un seuil bas. Des comptages réguliers sont en cours afin d’adapter au mieux les prochaines interventions.

    

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Le rucher de Saint Branchs

Le rucher de Saint Branchs

Notre rucher principal se situe dans une prairie fleurie de 6000m² entourée de haies champêtre et bordée d’un ruisseau ce qui permet d’avoir une riche diversité de nourriture tout au long de l’année pour nos abeilles.
Elles produisent ainsi un miel propre à notre terroir de Touraine de différentes variétés de fleurs : l'acacia, le tilleul, l'aubépine, le trèfle blanc, la ronce ou encore la luzerne ou le pissenlit.
C'est un miel crémeux et cristallin, qui peut varier de la couleur blanche à jaune doré en fonction des floraisons.
Parfumé fleuri et gourmand, c’est un miel idéal pour les tartines, sucrer vos boissons chaudes, vos pâtisseries ou agrémenter vos marinades estivales.
Notre méthode d’apiculture est en Dadant 10 cadres en apiculture raisonnée (démarche de certification bio à partir de 2022/2023).
Nous sommes en abeilles Buckfast pour la production de miel et en Ligustica (italienne) pour la gelée royale.
Nous faisons des transhumances mais intra-départementales pour aller chercher des miellées propres à notre terroir (Printemps, Forêt, Acacias, Tilleul, Châtaignier, Eté toutes fleurs, Sarrasin).

L'apiculteur : Patrick FAVER

UTPLA apiculteur Patrick FAVER

C'est en 2014 que je suis devenu berger des abeilles dans le cadre d'un projet de reconversion professionnelle.
Quand j'ai conçu mon projet je me suis donné comme ligne de conduite, comme philosophie, comme éthique de ne pas transhumer mes ruches pour le bien être de mes abeilles. De là découle toute ma pratique apicole :
 
- Je ne transhume donc pas mes ruchers. Mes colonies restent toute l'année sur le même emplacement.
Je propose, chaque année, diverses saveurs de miels en fonction de la période de récolte et de la localisation des ruchers. Je peux ainsi proposer jusqu'à 6 à 7 saveurs différentes : miel du Loubatas (des collines de Peyrolles en Provence), du Luberon, de printemps, de romarin, d'été, de lavande, d'automne. Pour cela je fais de "petites" récoltes très localisées.
 
- Je ne nourris pas au sirop mes colonies (colonies de production et les essaims que je fais).
Ne transhumant pas, je choisis des emplacements qui permettent à mes abeilles de trouver de la nourriture (nectar et pollen) toute l'année.
 
- Je privilégie les petits ruchers (20 colonies au maximum)
Cela dans trois objectifs :
1.    Ne pas mettre trop d'abeilles sur une même zone de butinage,
2.    Limiter le risque de propagation de maladies (peu de ruches et limitation de la dérive)
3.    Limiter les pertes (suivant l'adage, ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier).

- Je n'achète ni reine ni essaim.
Je renouvelle mon cheptel par la réalisation d'essaims artificiels qui élèveront leur propre reine. Toutes mes colonies sont aujourd'hui issues de souches locales. Mes colonies sont mieux adaptées à évoluer en fonction de leur environnement (ressources disponibles, climat).
 
- Je récolte exclusivement des cadres de hausses et des cadres operculés. En fin de saison, je laisse les cadres non operculés à lécher.
 
- Je ne modifie pas mon miel. Une fois récolté et extrait, après quelques jours de décantation, le miel est directement mis en pots. Il n’est ni chauffé ni ensemencé et cristallise, là aussi selon les années et les saisons, plus ou moins rapidement.
 
- Les cadres dans lesquels le miel est récolté n'ont jamais été en contact avec un traitement. Cela découle du point précédent.
 
- En fonction des conditions climatiques, je privilégie mes abeilles à la récolte de miel. C'est à dire que je préfère laisser les hausses pour les abeilles plutôt que de prendre le risque de les nourrir en cas, notamment, de sécheresse. Certes, je perds une partie de la récolte mais mes colonies disposent de leur propre miel.
 
De façon plus générale, j'essaye d'être respectueux de mes abeilles et de leur développement. Elles évoluent à leur rythme.

Un printemps chaotique

Chères marraines, chers parrains,

Voici quelques nouvelles de vos protégées… et de leur apiculteur.

Le printemps a une fois de plus été capricieux, alternant périodes de froid et de chaleur. J’ai rarement observé si peu de réserves (miel et pollen) dans les colonies. Tout ce que les butineuses rapportaient était immédiatement consommé. N’ayant pas recours au nourrissement artificiel, le développement des colonies s’est fait lentement.

Conséquence directe : pas de récolte ce printemps. Et avec la petite récolte de l’an passé, je n’ai malheureusement pas encore pu vous envoyer les pots de miel que vous attendez.

Mais la situation évolue enfin ! Comme peuvent le constater celles et ceux d’entre vous qui suivent mes ruches connectées, la miellée a commencé depuis une dizaine de jours. Les hausses prennent près d’un kilo par jour — un signe très encourageant. J’espère pouvoir récolter très prochainement, et je ne manquerai pas de vous tenir informés.

Un immense merci, une fois encore, pour votre soutien et votre patience.

Bien apicolement,
Patrick

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Le rucher Saint-Gervais

Le rucher Saint-Gervais

La plupart de mes ruches se situe dans la pointe sud-est du Vaucluse, dans le parc naturel du Luberon, entre le massif du Grand Luberon
et la Durance, proche du plateau de Valensole, au cœur de la Provence.  
C’est un site épargné par les cultures intensives où la plupart des agriculteurs travaille en méthode raisonnée sur de petites parcelles peu nombreuses.
Les milieux naturels et sauvages, sur cette zone occupent la majeure partie de l’espace.
La flore y est très riche.
Elle fournit aux abeilles : les fleurs des noisetiers, pruneliers, cornouillers, aubépines, amandiers, acacias, buis, ciste, chênes…
pour les arbres et arbustes et pour les plantes, les fleurs de romarin, pissenlit, trèfle blanc, thym, ronce, lavande sauvage et cultivée,
luzerne, sainfoin, chardon, immortelle, lierre, ainsi que de nombreuses plantes messicoles.

Que se passe-t-il ce mois-ci sur votre rucher ?

Chers parrains, chères marraines,

Nous espérons que vous allez bien et que ce début d’été se passe bien malgré les fortes chaleurs…
Vous avez peut-être récemment reçu vos pots de miel dans le cadre de vos parrainages (campagne de Printemps).
Si ce n’est pas encore le cas, ils ne devraient plus tarder à arriver dans vos boîtes aux lettres !
C’est toujours un moment spécial pour nous ...




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