OPEN BEE FRANCE

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Editeur de solutions logicielles de gestion électronique de documents (GED) et de dématérialisation des processus métiers (Finance, RH, ADV, ...), Open Bee permet aux entreprises et organisations d'éliminer l'usage du papier au profit d’une communication digitale. Sa mission principale est de simplifier les habitudes de travail et de faire gagner en productivité. Expert en gestion de contenus, l’éditeur de logiciel annécien compte aujourd’hui plus de 250 000 utilisateurs et bénéficie d’un réseau mondial. Ayant à cœur la préservation de l’environnement, l’entreprise partage ses valeurs et ses engagements avec ses collaborateurs et ses partenaires et s’investit davantage en participant à la sauvegarde des abeilles avec l’association « Un Toit Pour Les Abeilles ».


Voir leur site internet

Depuis plus de 10 ans, Open Bee œuvre pour la préservation de l’environnement du fait de son activité : accompagner les entreprises dans la dématérialisation du papier avec pour objectif zéro papier. En 2020, l’entreprise met en place une Training Academy qui permet de former ses partenaires aux nouveautés produits. Dans une démarche RSE, l’organisme a décidé de mettre en place un système de gaming sur le thème le l’apiculture, une initiative verte afin de motiver ses équipes, et de poursuivre leur sensibilisation et leur engagement sur la cause.

La ruche en images

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L'apiculteur : David GIRAUD

UTPLA apiculteur David GIRAUD

J'ai commencé l'apiculture il y une petite dizaine d'année, je suis passé de trois ruches à une centaine de ruches réparties sur 5 ruchers.
Je suis apiculteur amateur semi-professionnel, je n'arrive pas encore à vivre de mon activité apicole, je suis donc pluriactif (pisteur de ski de fond, accompagnateur moyenne montagne, vendeur conseil en magasin espaces verts).
Pour la formation, je suis autodidacte, je me suis construit en discutant avec les anciens et en dévorant des livres, j'ai commencé avec de petits moyens et j'ai eu le temps d'apprendre de mes erreurs et de mes expériences.
Cette vocation pour l'apiculture découle de plusieurs passions qui s'entremêlent (la botanique, l'ornithologie, l'enthomologie), de plusieurs rencontres essentielles comme "Pierrot" un de mes mentors ou "Gael" mon copain de longue date avec qui j'ai commencé cette aventure (merci à vous), et enfin d'une envie très grande d'être en adéquation avec le monde naturel du vivant qui m'entoure tout en respectant les autres. Je voudrais à présent essayer de vivre de ma passion modestement en aidant la planète et en considérant à égal son prochain. C’est pour cela que je me suis lancé dans l’aventure Un Toit Pour Les Abeilles.

Nouvelles printanières

Chères marraines, chers parrains,
Si les hommes aiment les hivers doux et ensoleillés pour manger au balcon, pour les abeilles c’est loin d’être l’idéal.
La visite des ruchers en sortie d’hiver n’a pas été source de bonnes nouvelles.
De nombreuses colonies étaient soit extrêmement faibles, soit carrément décimées.
Les pertes de cet hiver 2020 s’élèvent à 40% environ, un triste hiver pour les Happykulteurs.
La grande majorité ne manquait pourtant pas de nourriture, les cadres de réserve étaient souvent encore garnis de miel.

Il est fort probable que l’hiver très doux et très ensoleillé que nous avons eu dans notre région en soit une des raisons.
Les ouvrières, au lieu de rester confinées (!) dans la ruche en attendant calmement le début du printemps et ses premières floraisons, sont sorties beaucoup plus tôt que d’habitude.
Or en janvier et février, même s’il faisait relativement chaud et beau, la nature était encore endormie et les fleurs n’étaient pas encore sorties.
Beaucoup d’ouvrières se sont donc épuisées à chercher des ressources en nectar et en pollen.

Elles se sont ainsi retrouvées trop peu nombreuses pour relancer la colonie efficacement.
Qu’à cela ne tienne ! Le travail des mois de mars et avril a donc consisté à reconstituer les colonies du rucher.
C’est-à-dire à renforcer les colonies les plus faibles et à diviser les colonies les plus fortes pour en créer de nouvelles (faire naitre une nouvelle reine).
Aujourd’hui, fin avril, grâce à un gros travail de division et de répartition, les ruchers sont « en forme ».
Le grand soleil de ce début de printemps a été très favorable et a permis des belles floraisons avec beaucoup de nectar et de pollen.
Au rucher des Iles, les cerisiers et les pissenlits constituent une précieuse ressource pour le développement des colonies.
Le rucher de la Pierre, plus haut en altitude, met un peu plus de temps à se remettre de ces pertes hivernales.
Mais la nature est bien faite et la vie l’emporte toujours, ce n’est qu’une question de temps avant que les hausses à miel se remplissent de bon nectar.

L’happykulteur veille sur ses avettes.
Prenez soin de vous, nous on s'occupe des abeilles :)
David et Coralie

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Le Rucher de la Pierre

Le Rucher de la Pierre

Le rucher se situe sur une friche sauvage avec un jardin potager et des arbres fruitiers, d'orientation plein sud ou sur l'adret pour les puristes avec une terre assez pauvre et caillouteuse plutôt calcaire.
Ce terrain se situe à 500m d'altitude, entouré de quelques pâturages avec pissenlits, primevères, pâquerettes et autres trèfles. Il est bordé en aval d'une belle petite rivière " la Morge" avec ses zones inondables de roseaux et ses peupliers, et en amont d'une forêt de feuillus avec érables, chênes, châtaigniers, tilleuls, merisiers, aubépines.
Le panorama sur la montagne de la " Grande Sure " environ 2000m d'altitude est magnifique.
J’y récolte du miel du Massif de Chartreuse, miel toutes fleurs forestier de moyenne montagnes -Notes marquées de châtaignier et plus subtil de tilleuls - Saveur boisée, caramélisée et fumée, fruits confits - un miel assez fort en bouche de couleur foncé - Médaille d'Or 2015 et de Bronze 2017 concours bisannuel du Syndicat Apicole Dauphinois.

Que se passe-t-il ce mois-ci sur votre rucher ?

Chères Marraines, chers Parrains,
Permettre à des élèves de dorloter des abeilles qui ne piquent pas ?
C’est la super initiative lancée par nos collègues des Dorloteurs d’Abeilles.



Dès le lancement du projet, ils ont échangé avec de nombreux enseignants, ultra-motivés à l’idée de lancer un atelier autour des abeilles solitaires avec leurs élèves.
Mais ils ont vite &eacu...




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